LES DEMONS POSSEDENT VRAIMENT DES PERSONNES, AVERTIT LE PSYCHIATRE, ILS TERRASSENT L’HUMANITE PAR LE MAL.

Le psychiatre Richard Gallagher ayant suivi un cursus universitaire auprès de l’Ivy League (USA) est convaincu qu’il y a une épidémie croissante de possession démoniaque dans le monde aujourd’hui, et que de plus en plus de gens ordinaires reconnaissent maintenant la sombre réalité de cette situation effrayante.

Le Dr Richard Gallagher, qui possède des diplômes de l’Université de Princeton et de l’Université de Yale, affirme que, malgré des opinions contradictoires au sein de la science médicale, la possession démoniaque est à la fois réelle et endémique. Avec ses 25 ans d’expérience dans le secteur privé, entre autre en tant qu’enseignant au New York Medical College et à l’Université Columbia, le Dr Gallagher pense qu’il possède un point de vue unique dans le discernement médical entre le comportement humain et non humain, voire satanique. Il est un professionnel très recherché au cas où il y a une suspection de cas susceptible de relever de l’exorcisme.

Ayant évalué des centaines de cas de possession démoniaque à cette fin, le Dr Gallagher est certain que le phénomène est on ne peut plus légitime et particulièrement urgent.

Lors d’une interview récente auprès du journal “The Telegraph” (Royaume-Uni), ce psychiatre a tenté de faire comprendre que les démons savent très bien comment tromper les êtres humains car ils possèdent des facultés cognitives beaucoup plus avancées que ces derniers. Ces démons utilisent couramment ces “intelligences” mentales (Ndlr* : le contrôle mental) pour contrôler les humains qu’ils possèdent, ce qui pousse beaucoup d’entre eux à commettre des atrocités et d’autres maux contre d’autres personnes et formes de vie. “Ils sont très, très intelligents”, a déclaré le Dr Gallagher au sujet des êtres qui occupent le royaume démoniaque. “Le niveau d’intelligence d’un ange déchu, qui comme je les appelle, est de loin supérieur à l’être humain.”

L’église catholique romaine connaît une forte hausse dans les cas de possession démoniaque.

Les sentiments du Dr Gallagher s’accordent avec d’autres rapports récents sur la demande croissante d’exorcismes dans l’Église catholique romaine. […] Le pape François a également commenté le phénomène, expliquant à ses disciples que Satan est, en effet, «un être réel» qui «parcourt la terre pour dévorer les âmes comme un lion».

Il a écrit en avril que les gens ne devraient pas supposer que le diable n’est qu’un mythe, une représentation, un symbole, une figure de style ou une idée. Ce faisant, il fait baisser la garde, affirme-t-il, nous rendant tous «plus vulnérables».

Le pape François dit aussi que les prêtres «ne devraient pas hésiter» à envoyer des exilés qui souffrent de «véritables troubles spirituels» aux prêtres exorcistes. Le rite de l’exorcisme, dit-il, est un «ministère délicat et nécessaire» qui devrait être entrepris avec «beaucoup de soin et une grande prudence».

Selon les données des États-Unis, le nombre de prêtres entraînés à pratiquer des exorcismes a augmenté. Il y a une dizaine d’années, il y a environ 50 ans, soit une augmentation de plus de 300%.

Ce saut dramatique ne devrait pas être ignoré, dit le Dr Gallagher, qui, bien qu’il ne soit pas le seul à partager ses opinions fait partie d’un petit nombre de personnes qui sont disposées à en parler professionnellement.

«Il y a beaucoup d’autres psychiatres et professionnels de la santé mentale qui font ce que je fais – peut-être pas dans la mesure de mes moyens – qui semblent hésiter à s’exprimer, explique le Dr Gallagher. “C’est ce qui donne à mon travail une certaine singularité. J’ai eu tellement d’expérience que je me sens obligé de parler. “

En même temps, Dr. Gallagher avertit qu’il est important de déterminer sans aucun doute qu’une personne a réellement un démon réel avant de recommander qu’il ou elle visite un exorciste. (Ndlr* : ce qui est un non sens ici, car il appartient au prêtre exorciste de discerner cela et non pas à un médecin psychiatre ! L’exorciste peut travailler conjointement avec le corps médical. Les rôles ou la vocation de chacun ne doit pas être inversée). “Il existe des critères très stricts pour déterminer le problème de la personne”, prévient-il. “Je ne suis pas juste mon intuition. Je traite cela d’un point de vue très scientifique.”

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*Ndlr : Note de la rédaction (révérende Marie)