Le démon déteste au plus haut point de voir des hommes aller se confesser. Il déploie moultes stratégies en vue de détourner les hommes de ce merveilleux sacrement apaisant l’âme tourmentée et éloignant son abominable emprise. Les “psys” de tout bord ne remplaceront jamais le prêtre consacré.
 
Comme l’expose le St Curé d’Ars,
 
“Le prêtre a la clef des trésors célestes : c’est lui qui en ouvre la porte ; il est l’économe de Dieu, l’administrateur de ses biens.”
 
C’est Jésus qui appelle à la conversion (Marc 1.15). 
 
Comme le dit le très saint Curé d’Ars, grand confesseur, “la confession est le meilleur des baumes”.
 
Ce grand prêtre, prêtre des prêtres, nous dit  également :
 
Mes enfants, on ne peut pas comprendre la bonté que Dieu a eue pour nous d’instituer ce grand sacrement de pénitence… Si l’on disait à ces pauvres damnés qui sont en Enfer depuis si longtemps : “Nous allons mettre un prêtre à la porte de l’Enfer. Tous ceux qui voudront se confesser n’ont qu’à sortir” ; mes enfants, croyez-vous qu’il en restât un seul ? Les plus coupables ne craindraient pas de dire leurs péchés, et même de les dire devant tout le monde. Oh ! comme l’Enfer serait vite désert, et comme le ciel se peuplerait ! Eh bien  ! nous avons le temps et les moyens que ces pauvres damnés n’ont pas.
 
Mes enfants, dès qu’on a une tache sur son âme, il faut faire comme une personne qui a un beau globe de cristal qu’elle garde bien soigneusement. Si ce globe prend un peu de poussière, quand elle s’en aperçoit, elle y passe vite une éponge et voilà ce globe clair et brillant !
 
C’est beau de penser que nous avons un sacrement qui guérit les plaies de notre âme ! Mais il faut le recevoir avec de bonnes dispositions. Autrement, ce sont de nouvelles plaies sur les anciennes. Que diriez-vous d’un homme tout couvert de blessures et qui agirait de la manière suivante ? On lui conseille d’aller à l’hôpital. Il y va ; le médecin le guérit en lui donnant des remèdes. Mais voilà cet homme qui prend son couteau, qui s’en donne de grands coups et se plus de mal qu’il n’en avait auparavant. Eh bien ! c’est ce que vous faites souvent en sortant du confessionnal, quand vous retombez dans les mêmes péchés.
 
Il y en a qui profanent le sacrement en manquant de sincérité. Ils auront caché des péchés mortels, il y a dix ans, vingt ans. Toujours ils sont tourmentés ; toujours leur péché est présent à leur esprit ; toujours ils ont la pensée de le dire, et toujours ils renvoient : c’est un enfer !…
 
Mes enfants, il faut bien demander le repentir. Il faut après la confession, “planter une épine” dans son coeur et ne jamais perdre ses péchés de vue. Il faut faire comme l’Ange a fait à saint François d’ Assise : il lui a “planté cinq dards” qui ne sortirent jamais.
 
Quand vous avez fait une bonne confession, vous avez enchaîné le démon.
 
Les péchés que nous cachons reparaitront tous. Pour bien effacer ses péchés, il faut bien les confesser.
 
Le prêtre est donc l’instrument visible du pardon venant de Dieu lui-même. Ce n’est pas le prêtre qui s’attribue le pouvoir de pardonner les péchés, c’est Jésus qui a donné ce pouvoir à certains hommes et femmes, lorsqu’Il a dit aux Apôtres dont Marie-Madeleine, Apôtre des Apôtres, le soir de Pâques :
 
“Remettez les péchés. Ceux à qui vous les pardonnerez, ils seront pardonnés. Ceux à qui vous les retiendrez, ils seront retenus.” (Jean 20.23)
 
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† Amen